L’objet que l’on pense être la cage ayant enfermé le corps de Marie-Josephte Corriveau en avril et mai 1763 a été prêté au Musée de la civilisation et à la Société d’histoire régionale de Lévis pour une période de deux ans. Des analyses seront effectuées dans les prochains mois. Si les expertises parviennent à démontrer qu’il s’agit bien du gibet de la Corriveau, l’artefact pourrait être rétrocédé par l’Essex Peabody Museum, qui en est actuellement propriétaire. Une histoire à suivre…

Publiée le 2 octobre 2013